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C'EST CE QUE FAIT BAStArD.
ATTENDEZ. Par SuD DO yOu MEAN...
Ouais, c'est vrai.
C'EST CE FOUTU MARCHAND QUE TU AS SAUVÉ.
SI CE N'ÉTAIT PAS POUR toi,
J'AURAIS PU SAUVER MON PETIT FRÈRE.. !
TENIR BON. CALME-TOI.
DITES-LE AUX DÉTAILS.
QU'EST-IL ARRIVÉ À VOTRE BrOThER ?
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...IL Y A QUELQUE TEMPS
GÉORGIE !
GÉORGIE !
JE SUIS REVENU PLUS TARD QUE D'HABITUDE, MAIS MON FRÈRE N'ÉTAIT PAS À MOI
C'EST UN ENFANT PLUTÔT FAIBLE, ET PUISQUE NOUS VIVONS DANS UN BIDONVILLE SANS POLICIERS
GÉORGIE !
OÙ ES-TU ?
J'AVAIS PEUR QU'IL LUI SOIT ARRIVÉ QUELQUE CHOSE SOIF.
PENSEZ-Y COMME UN HONNEUR ! !
MAIS...
GÉORGIE!!!
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QUI ES-TU!!!
ARRÊTEZ-VOUS LÀ!!!
COMMENT OSES-TU QUE MON FRÈRE..O!!
QUI VOUDRIEZ-VOUS...
000000
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ALORS DEPUIS CE JOUR, IL EST DANS CET ÉTAT ?
...Ouais Ah.
Chez FIrst, il n'avait pas de blessures, et il s'est réveillé juste après donc j'ai pensé qu'il allait bien mais...
IL A COMMENCÉ À DEVENIR PLUS MINCE EN DISANT QU'IL N'AVAIT PAS DE SENS,
ET BIENTÔT IL S'EST ÉVANOUI COMME UNE PERSONNE SANS VIE...
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TU M'AS DEMANDÉ UNE FAVEUR LA PREMIÈRE FOIS QUE TU M'AS RENCONTRÉ À CAUSE DE ÇA ?
C'EST VRAI. J'AVAIS L'INTENTION DE VOLER LE POIGNARD
IL A POIGNARDÉ MON FRÈRE ET CONCLU UN ACCORD.
EN ÉCHANGE DE LA RESTITUTION DU POIGNARD
JE VOULAIS LUI DEMANDER DE ME DIRE COMMENT TRAITER MON FRÈRE.
BIEN QUE BIEN SÛR, IL FAUT UNE CERTAINE PERSONNE JUSTE,
TOUT A ÉTÉ ÉCRASÉ EN MORCEAUX
...Je m'appelle SOrry. JE T'AI MAL COMPRIS.
JE PENSAIS RAPIDEMENT QU'UNE PERSONNE FAIBLE ÉTAIT BATTUE...
PARCE QUE NOUS ÉTIONS UNILATÉRAUX AtTACKInG HIm ?
...Hein?
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OU EST-CE QUE J'ÉTAIS PAUVRE ?
PARCE QU'ISEEMEDLIRE EST UN voyou ?
ON DIRAIT NOTRE ALLIÉ DE RAISONNEMENT POUR DIFFÉRENCIER LES FORTS ET LES FAIBLES, HEIN ?
ALLEZ, MAINTENANT.
SHe N'A VÉCU QUE LA VIE D'UN NOBLE
ET N'A PAS BEAUCOUP D'EXPÉRIENCE, ALORS ESSAYEZ DE LA SUPPORTER.
Au FAIT.
POURQUOI TU NE ME DÉTESTES PAS ?
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Quoi?
JE VEUX DIRE, JE T'AI TRAHI APRÈS QU'ELLE SOIT ARRIVÉE AUSSI.
alors, TU NE DEVRAIS PAS ME DÉTESTER AUSSI ?
...C'EST PARCE QUE C'ÉTAIT LA PREMIÈRE FOIS
QU'EST-CE QUI ÉTAIT ?
C'ÉTAIT LA PREMIÈRE FOIS QUE QUELQU'UN DISAIT QU'IL NOUS AIDERAIT
SANS AUCUNE CONDITION
EhEM...!
...Oh.
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QU'EN PENSEZ-VOUS, MLLE LUVELLA ?
DÉFINITIVEMENT...
J'AI SENTI L'ÉNERGIE DÉGOÛTANTE DE VALLE DE CET ENFANT, DE LA VIE FORCée.
Je suis assez sûr qu'il est un SACRIFICE.
ENSUITE, JE SUPPOSE QUE NOUS DEVRIONS PARTIR DE LÀ...
AVEZ-VOUS TROUVÉ UN MOYEN ?
OUAIS. PREMIÈREMENT, ALLONS-Y.
Jt} D]gJe
