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ASSEZ, RYLLIE.
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AGH...
HNGH...
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SI TU TE TROUVES TOUJOURS LE MÊME.
COMME C'EST MÉCHANT, FRÈRE.
LARME
TU AGIS COMME SI JE LA FORÇAIS À DONNER... !
EST-CE QUE J'AI L'AIR DE CE GENRE DE PERSONNE ? !
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REGARD
MON FRÈRE NE S'EST JAMAIS OPPOSÉ À MOI AUPARAVANT
ÊTES-VOUS BLESSÉ ?
JE VAIS BIEN.
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CE N'EST PAS CE QUE JE VOULAIS DIRE.
ALORS QU'EST-CE QUE TU FAIS ? !
QU'EN PENSERONT-ILS ?
CALME-TOI, RYLLIE...
OUBLIEZ-LE !
JE TE DÉTESTE, TOI ET TOUS LES AUTRES ! JE PARS !
SUIVEZ-LA, SIR ASHON.
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OUI, VOTRE ALTESSE.